L’ACPM ne corrige pas et ne modifie ni l’information fournie par les candidates et les candidats dans le formulaire de présentation de candidature et la déclaration de candidature, ni leurs photographies. Les candidates et les candidats sont responsables de l’orthographe et de l’exactitude de l’information fournie, ainsi que de la composition, du format et de la résolution de leur photographie.
Déclaration de candidature
Qui suis-je?
Je suis pédiatre à Vancouver, en C.-B. J’exerce principalement en milieu communautaire et j’occupe un poste à l’unité de soins intensifs néonatals du BC Women’s Hospital. J’en suis à ma 5e année de pratique. Ce dernier point est selon moi crucial, car la vaste majorité des membres du Conseil ont 10 années de pratique ou plus. C’est un aspect qui, à lui seul, m’amènerait à contribuer à la diversité du Conseil.
Expérience à l’ACPM
J’ai en fait déjà siégé au Conseil de l’ACPM. C’était lors de ma dernière année de résidence, en 2018-2019, quand j’avais été élu représentant des médecins en résidence pour tout le Canada. Au cours de mon bref passage dans l’organisation, j’ai pu prendre connaissance des rouages du conseil, et je n’ai pas hésité à rendre compte du point de vue des résidentes et résidents sur certains dossiers.
Je compte faire la même chose cette fois, sauf qu’en tant que spécialiste basé en C. B., je serai appelé à représenter des membres faisant partie d’une région géographique précise.
Représentation de la C.-B.
J’occupe actuellement la présidence de la BC Pediatric Society et, à ce titre, je représente l’ensemble des pédiatres. Ce poste, dont la portée est assez vaste, m’a amené à bien connaître le cadre médico-politique de la province que je compte représenter.
J’ai aussi eu l’occasion de faire de la suppléance occasionnelle partout dans la province, ce qui me confère une bonne compréhension de la médecine et des besoins en C.-B.
Secteur des soins de santé
Les problèmes qui touchent le système de santé semblent avoir atteint un point culminant : bon nombre de médecins estiment en effet que nous nous approchons d’un point de rupture. Ces écueils ont généralement trait au financement, à l’épuisement professionnel, à la gestion de la pratique, aux listes d’attente qui allongent sans cesse, etc. Bien que l’ACPM ne réglera pas ces problèmes directement, son Conseil peut néanmoins faire tout en son pouvoir pour veiller à optimiser la santé, la richesse et l’épuisement professionnel des médecins. Par exemple, de nombreux médecins ressentent du stress vis-à-vis des règles du collège qui régissent l’accès à un service jour et nuit dans les cliniques; l’ACPM pourrait certainement agir de façon un peu plus directe pour aider les médecins à comprendre leur devoir de diligence et les principes juridiques qui sous-tendent ces règles. Des enjeux comme ceux-là s’inscrivent sans doute dans le mandat de l’ACPM.
