Les médecins doivent faire preuve de jugement professionnel au moment de déterminer si une évaluation virtuelle, une évaluation en personne ou encore une approche hybride s’avère appropriée pour un patient donné.
Une personne soignée est moins susceptible de porter plainte si elle perçoit chez sa ou son médecin une réelle sollicitude, de l’empathie et de l’honnêteté et si elle a le sentiment que ses valeurs et ses préférences sont reconnues.
Cet article présente les démarches que les médecins peuvent entreprendre pour faire face à l’intimidation ou à d’autres comportements abusifs de la part des patients, de leur famille, de collègues ou d’autres professionnels de la santé, ou encore de tiers.
La tenue des dossiers cliniques et des rapports transmis à des tiers doit être factuelle, objective et adopter un ton qui reflète le professionnalisme dans l’exercice de la médecine.
Analyse des répercussions de l’incivilité dans le milieu de la santé
Les textos offrent la possibilité d’améliorer la communication auprès des médecins et des membres de l’équipe de soins; une utilisation appropriée peut en atténuer certains des risques inhérents.
Les médecins peuvent gérer les évaluations en ligne à l’aide d’une approche raisonnable et mesurée.
Facteurs à considérer par les médecins en cas de demande d’entrevue.
Conseils aux médecins pour les aider à déterminer s’ils doivent avoir recours aux services d’un accompagnateur dans leur pratique.
Une analyse des obligations légales des médecins et des considérations d'ordre déontologique en matière de signalement aux établissements de santé/hôpitaux, aux responsables de la santé publique ou aux organismes de réglementation (Collèges) des inquiétudes raisonnables liées à la compétence professionnelle, à la conduite ou au comportement d'un autre médecin.
Les médecins qui participent à des études cliniques doivent connaître leurs obligations légales, déontologiques et professionnelles.
Cet article décrit comment une plainte à un organisme de réglementation de la médecine (Collège) amorce un processus justifiant l'attention et une réponse opportune de la part d'un médecin.
Cet article présente les faits saillants du document de discussion de l’ACPM « Le rôle des médecins chefs de file dans les cas de comportement perturbateur des médecins dans les établissements de santé
Aspects à considérer pour mettre fin à la relation médecin-patient.
Cet article donne un aperçu des quelques situations où les médecins peuvent se traiter eux-mêmes ou soigner des membres de leur famille ou des amis.
Un aperçu des stratégies de communication que les médecins peuvent mettre à profit pour résoudre les conflits qui les opposent à des collègues ou à d’autres professionnels de la santé.
Les médecins qui prodiguent des soins d’urgence à titre de bons samaritains ont souvent des questions en ce qui a trait à leurs obligations légales et déontologiques, ainsi qu’à la protection qui leur est offerte en matière de responsabilité.
Cet article aborde la question du comportement agressif de certains patients ou de membres de leur famille et de leurs requêtes, qui peuvent être irréalistes et possiblement néfastes. Dans le cadre de leur pratique médicale, les médecins ont besoin de stratégies et d’outils pour gérer les conflits et les comportements problématiques.
Lorsque le patient demande accès à des professionnels, des traitements ou des services particuliers, le médecin doit déterminer s’il est raisonnablement en mesure d’accommoder de telles demandes.
Les médecins chefs de file qui encouragent une culture de responsabilisation au sein de leur équipe ou de leur établissement contribuent à promouvoir des apprentissages découlant des comportements indésirables, y compris les erreurs humaines, les comportements à risque et les conduites dangereuses.
AVIS : Les renseignements publiés dans le présent document sont destinés uniquement à des fins générales. Ils ne constituent pas des conseils professionnels spécifiques de nature médicale ou juridique, et n’ont pas pour objet d’établir une « norme de pratique » à l’intention des personnes exerçant une profession de la santé au Canada. L’emploi que vous faites des ressources éducatives de l’ACPM est visé par ce qui précède et l’avis de non-responsabilité de l’ACPM dans son intégralité, « Contrat d’utilisation de l’ACPM ».